Lundi 2 Mai

Cher journal,

Aujourd'hui, j'ai été capturé par les légions romaines par des gens barbares. Je travaillais sur la ferme avec mon frère plus âgé et la plantation des graines. Tout à coup, ces soldats romains ont roulé avec des chevaux et m'ont fait sortir de ma ferme. J'ai pleuré et pleuré et crié apres eux de me laisser. Mais ils ne m'ecoutaient pas et m'ont mis a l'arriere d'une cariole. Nous avons roulé pendant des heures et je ne savais pas où nous allions.

Enfin, nuit venue. Nous sommes soudain entrés dans une grande ville et j'ai vu le gigantesque Colisée. Il était magnifique. Il était magnifique dans la nuit. Grâce à la cage, j'ai vu mes ravisseurs parler à quelqu'un. Mais je ne pouvais pas voir clairement. Puis, l'homme se retourna et je vis son visage: Il a été Commodus, l'empereur de Rome. J'ai commence a avoir très peur parce que tout le monde sait que Commodus est vicieux et dramatique. Il se dirigea vers ma cage, regarda, et dit: "Elle est bonne, elle sera un gladiatrice". Je suis presque morte.

Mes ravisseurs m'ont emmené dans la chambre de petite et m'ont donné un peu de nourriture. Ils m'ont dit que je serais au combat dans une bataille gladiateur demain. J'ai tellement peur que je n'ai jamais combattu dans une bataille avant. Ils m'ont donné une épée et un casque à l'usure. Ensuite, ils m'ont donné dix minutes pour mettre sur mon armure et me dit de marcher à l'extérieur alors. Je ne savais pas ce qu'il adviendrait de moi. J'ai mis mon casque et mon armure et je suis sorti de ma cage, ayant peur de ce qui allait suivre. Quand je suis arrivé dans la cour, j'ai vu deux grands hommes là-bas avec des épées. On me dit que nous allions à la pratique de la bataille demain. J'ai essayé de le frapper avec une épée, mais il était trop rapide. J'ai continué à essayer de les attaquer, mais il était inutile. J'ai été terrible et je ne pouvais pas le faire.

Les hommes m'ont dit, après trente minutes, qu'il n'y avait aucun espoir pour moi. Je voudrais mourir au combat et s'il vous plaît à la foule au Colisée. Je suis efrraye de mourir, mais que puis-je faire? Je vous prie, cher journal, que je puisse trouver un moyen de m'échapper dans la matinée.

Adieu,

Yasmin